L’unification de la planification et de la génération de rapports n’a en soi rien de révolutionnaire, mais elle permet des gains précieux en termes de rapidité et de régularité.
Depuis de nombreuses années, Microsoft Excel fournit aux départements financiers des outils de planification et de budgétisation indispensables pour bien accomplir leur travail, aidés en cela par une souplesse et une rapidité de familiarisation accrues, ainsi qu’un arsenal de formules et de macros pour l’automatisation et les analyses fondamentales.
En dépit de la sophistication et de la montée en puissance des technologies professionnelles actuelles, la plupart des entreprises continuent de s’en remettre à Excel pour leurs activités de budgétisation, de planification de prévision. Le célèbre tableur de Microsoft demeure un pilier et un contributeur incontournable en matière de compilation et de visibilité des données financières. Pourtant, d’autres outils professionnels plus puissants émergent et exigent un fonctionnement en symbiose avec Excel pour répondre à la croissance actuelle des besoins liés à la finance numérique.
Aussi complet que soit le logiciel Excel, il n’en présente pas moins un certain nombre de lacunes gênantes pour les grandes organisations : le contrôle des erreurs, l’évolutivité, l’automatisation, la transparence, ou encore le potentiel collaboratif, lui font notamment défaut.